Chambre 17 : Nicolas d'Hieux
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Chambre 17 : Nicolas d'Hieux
Invité Sam 16 Jan - 1:11
"Renouveau?"
Attendant la réponse d'Akira, Nicolas ouvrit tout de même la porte de sa nouvelle chambre... non de son nouveau domicile. Il n'avait plus aucun autre lieu où se réfugier si sa famille réussissait à le retrouver. D'ailleurs, il se demandait bien comment ils pourraient le retrouver. Après tout, il n'avait embarqué que sa tenue... et voilà, Akira allait sans nul doute lui retirer cette tenue. Qui plus est, c'est celle qu'il portait lors de leur unique rendez-vous. Donc voilà, sa seule tenue riche allait voir le fond d'un placard inconnu. Mais bon, il avait tout donné à Akira, une tenue en plus, quelle différence?
Ainsi donc la porte fut ouverte. Comme dans l'ancienne académie, elle était très luxueuse. Nicolas y mettait les pieds pour la première fois, donc il la découvrait également. Un bureau, un lit, des étagères, une armoire. Elle lui semblait vide... et quand il vit son petit sac ne contenant que deux caleçons, deux paires de chaussettes, sa tenue riche et son violon, il se dit que vraiment, tout allait changé par rapport à avant. Après tout, il n'avait quasiment rien à ranger dans l'armoire, l'étagère était dans la même situation, et le bureau servirait pour ses comptes et ses cours, donc pas vraiment pour un aspect ludique. Et vu qu'il n'avait plus que quelques menus monnaies, il n'allait pas transformer cette pièce en Versailles. Il lâcha un soupir, et entra dans sa chambre pour déposer son sac sur le lit et le vider. Il déposait doucement son violon, déplia soigneusement sa tenue et ses sous-vêtements. Puis il s'assit sur une chaise. Il vit Akira sur le seuil de la porte, et lui désigna le lit.
"Voilà... tu as devant toi tout ce que j'ai emporté... ni plus, ni moins. Si tu juge que je dois me débarasser de certaines choses trop riche, n'hésite pas à les emporter. Après tout, je t'ai bien dit que je souhaitais recommencer de zéro... donc zéro richesse... Ne te soucie pas de mon comportement, de mes émotions : ça va juste être nouveau pour moi... déjà c'est nouveau que je vive dans une pièce aussi vide...."
Attendant la réponse d'Akira, Nicolas ouvrit tout de même la porte de sa nouvelle chambre... non de son nouveau domicile. Il n'avait plus aucun autre lieu où se réfugier si sa famille réussissait à le retrouver. D'ailleurs, il se demandait bien comment ils pourraient le retrouver. Après tout, il n'avait embarqué que sa tenue... et voilà, Akira allait sans nul doute lui retirer cette tenue. Qui plus est, c'est celle qu'il portait lors de leur unique rendez-vous. Donc voilà, sa seule tenue riche allait voir le fond d'un placard inconnu. Mais bon, il avait tout donné à Akira, une tenue en plus, quelle différence?
Ainsi donc la porte fut ouverte. Comme dans l'ancienne académie, elle était très luxueuse. Nicolas y mettait les pieds pour la première fois, donc il la découvrait également. Un bureau, un lit, des étagères, une armoire. Elle lui semblait vide... et quand il vit son petit sac ne contenant que deux caleçons, deux paires de chaussettes, sa tenue riche et son violon, il se dit que vraiment, tout allait changé par rapport à avant. Après tout, il n'avait quasiment rien à ranger dans l'armoire, l'étagère était dans la même situation, et le bureau servirait pour ses comptes et ses cours, donc pas vraiment pour un aspect ludique. Et vu qu'il n'avait plus que quelques menus monnaies, il n'allait pas transformer cette pièce en Versailles. Il lâcha un soupir, et entra dans sa chambre pour déposer son sac sur le lit et le vider. Il déposait doucement son violon, déplia soigneusement sa tenue et ses sous-vêtements. Puis il s'assit sur une chaise. Il vit Akira sur le seuil de la porte, et lui désigna le lit.
"Voilà... tu as devant toi tout ce que j'ai emporté... ni plus, ni moins. Si tu juge que je dois me débarasser de certaines choses trop riche, n'hésite pas à les emporter. Après tout, je t'ai bien dit que je souhaitais recommencer de zéro... donc zéro richesse... Ne te soucie pas de mon comportement, de mes émotions : ça va juste être nouveau pour moi... déjà c'est nouveau que je vive dans une pièce aussi vide...."
Dernière édition par Nicolas d'Hieux le Lun 25 Jan - 4:33, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Chambre 17 : Nicolas d'Hieux
Akira Yamada Lun 25 Jan - 4:27
Je ne comprenais pas... Non je ne comprenais pas comment on pouvait être si émotif pour trois fois rien... C'était bizarre. J'avais presque l'impression d'être un sans-coeur qui regardait une petite bête souffrir devant ses yeux et qui s'amusait à trouver des moyens encore plus douloureux pour entendre ses cris... Oui. C'était quasiment ca... Et puis, il faut dire qu'avec Nicolas, je n'y allais pas avec des pincettes... Non je taillais plus directement dans le lard. Je voulais qu'il comprenne bien que ce serait sa dernière chance. Sa seule chance si on compte bien. Son unique chance de changer. J'étais peut être en train de créer un monstre d'ailleurs... Mais c'était impossible... Justement, je voulais qu'il devienne gentil... Mais s'il n'y arrivait pas... Sans doute serait il encore plus insupportable qu'avant... Oui, je sais que c'est dur à croire mais j'ai déjà vu pire...
Alors je restais indifférent en le regardant. Lui avait la larme à l'oeil et moi ca ne me faisait ni chaud ni froid... Je ne comprenais simplement pas pourquoi il faisait tout un fromage pour si peu. Après tout... Ce n'était vraiment pas grand chose de venir dans sa chambre pour vérifier deux trois minutes qu'il n'y avait plus d'argent... Non ca ne demandait pas d'effort surhumain... Enfin pas pour moi en tout cas. Surtout en considérant que ma chambre était sa voisine de pallier... Bref je ne comprenais pas. En même temps, je n'étais pas amoureux... Non je ne ressentait rien... Rien de plus que de l'amitié pour lui... Peut être que cela rendait plus émotif... Peut être que cela nous rendait fragile... Stupide devrais je peut être même dire...
Alors je le regardais faire, silencieusement. Je le suivais dans son parcours. Il était seul à évoluer dans son environnement et cela m'amusait de le regarder... Je le regardais être aimable avec cet élève, mignon aussi soit dit en passant... Il ferait joli nu entre mes couvertures... Hum... Je disais? Ah oui... Donc Nicolas avait demandé quelque chose poliment sans trop de méprise. C'était un bon début. Jusqu'à ce qu'il me fasse le numéro de celui qui était responsable... On y croyait presque. Par contre, me prendre pour un mec stupide pas capable de retrouver son chemin en l'empruntant une fois... Ca ce n'était vraiment pas bien... Lui avait peut être besoin de son plan aussi ridicule.... Mais moi ce n'était pas le cas... En plus je n'aimais pas son écriture et c'était un peu illisible son plan... Bref, je préférais amplement celui qui reposait au fin fond de mon sac, fait par ordinateur et tout propre. J'aurais juste à l'apprendre par coeur et c'était bon... Pas besoin d'en faire tout un patacaisse...
- Pfff... C'est bon garde le ton plan... J'en ai un meilleur dans mon sac... Et au pire je me souviendrais du chemin...
Oui j'avais soupiré... Il commençait un peu à me désespérer... Un peu beaucoup en fait... Il me posait des questions qui étaient supposés me laisser le choix et pour finir, c'était comme s'il ne m'en laissait aucun... Pourquoi me poser la question dans ce cas-là? Bref cela avait peu d'importance mais j'en restais un moment figé devant la porte ouverte de sa chambre. On pouvait presque croire que j'attendais quelque chose. Et c'était peut être bien le cas... En fait, c'était même le cas. J'attendais que Nicolas arrête un peu de bouger tout seul dans tous les sens... On avait presque l'impression qu'il était stressé ou je ne sais quoi... Il faisait toujours quelque chose et parlait toujours sans attendre la moindre raison de ma part. C'était étrange... Alors, quand il cessa enfin de bouger et qu'il me regarda d'un air interrogateur, je soupirai à nouveau et entrai à mon tour dans la chambre richement décorée. Oui, c'était très beau, il n'y avait pas de problème à ce propos.
- Bon puisque tu as l'air de l'avoir décidé... Commençons par faire les vérifications... Ca va aller vite si je considère que tu n'es pas encore venu dans cette chambre avant maintenant.. C'est tout ce que tu as...? Bien. Ca va aller plus vite.
Puis, sans un mot de plus ni même un regard vers Nicolas, je m'avançai vers le lit. Il n'avait pas grand chose. C'était bien. Le choc était rude mais nécessaire. Le changement irait plus vite. Ouais bon... Il n'y avait vraiment pas grand chose... J'avais vite fait le tour des doublures et des poches... Et les sous-vêtements... Même pas vérifiés... Je ne le pensais pas aussi tordu pour cacher de l'argent dans une chaussette... Et puis ca se verrait... Non... Il y avait juste cette tenue... Cette tenue qu'il portait quand on avait dîné une seule et unique fois ensemble dans un restaurant... Comment dire... Cette soirée un peu désastreuse... Ca me rappelait plus de mauvais souvenirs que de bons... Et ca devait être sûrement de même pour Nicolas... Pourquoi l'avait il gardé...? Rapidement, je pris un léger air de dégoût et la tenue finit dans la poubelle la plus proche : celle de la chambre de Nicolas.
- Bon... Voilà pour tes vêtements. Ah non. J'allais oublié. La fouille au corps. Le plus intéressant n'est ce pas...?
Avec le premier petit air amusé que je venais de prendre depuis le début de nos retrouvailles, je le faisais lever de sa chaise. Puis, sans attendre, mes mains se mirent à fouiller consciencieusement. Bon bien sûr, je n'étais pas habitué à faire ce genre de choses.. Donc forcément j'allais plus lentement et insistai un peu plus dans mes pressions pour bien m'assurer de ne rien sentir sous mes doigts. Et vient le moment fatidique où l'entrejambe fut l'objet des investigation... Et... Comment dire... C'était bizarrement plus dure dans cette zone que dans toutes les autres que j'ai pu tâter avant cela... Dur et... Cylindrique... Hum...
- Oh... Tiens... Il y a un manque de place ici... Tu devrais peut être faire respirer un peu tout ça...
Avec un petit sourire pervers en coin, je frottais un peu cette zone bien tendue du corps de Nicolas. Oui ca m'amusait. Ca m'amusait même follement. Je crois que j'étais en train de l'égarer en pleine jungle. Cela se voyait qu'il ne contrôlait plus rien et qu'il était totalement perdu... Son oeil était rempli d'incompréhension. Et je le voyais peu à peu se tortiller sous mes caresses. Et puis j'avais fini ma tâche barbante alors on pouvait bien s'amuser un peu non? Oui bon d'accord c'était mal... Mais bon, Nicolas aussi m'en avait fait voir de toutes les couleurs... Charge de revanche... Puis, je finis par cesser mes caresses pour me redresser à sa hauteur et lui rouler le patin du siècle. Enfin bon... Mon premier patin... Mais sans aucun doute un très doué... Puis, je mis fin au baiser, un petit sourire moqueur toujours fiché sur mon visage.
- Bon allez... Il est temps pour moi d'aller ranger mes affaires moi... A plus petit chou! Oh et... Pas la peine de me suivre hein...?
Rigolant, je lui fis un petit clin d'oeil et me détourner de lui pour sortir de sa chambre et aller ouvrir tranquillement la mienne. Mon rire pouvait encore s'entendre dans le couloir jusqu'à ce que la porte de ma chambre ne se referma sur moi laissant un Nicolas certainement plus que choqué. Ah c'était vraiment très drôle... Très très drôle... Je ne savais pas si ca allait l'aider dans tout ca mais... En tout cas... Moi ca m'éclatait...
Alors je restais indifférent en le regardant. Lui avait la larme à l'oeil et moi ca ne me faisait ni chaud ni froid... Je ne comprenais simplement pas pourquoi il faisait tout un fromage pour si peu. Après tout... Ce n'était vraiment pas grand chose de venir dans sa chambre pour vérifier deux trois minutes qu'il n'y avait plus d'argent... Non ca ne demandait pas d'effort surhumain... Enfin pas pour moi en tout cas. Surtout en considérant que ma chambre était sa voisine de pallier... Bref je ne comprenais pas. En même temps, je n'étais pas amoureux... Non je ne ressentait rien... Rien de plus que de l'amitié pour lui... Peut être que cela rendait plus émotif... Peut être que cela nous rendait fragile... Stupide devrais je peut être même dire...
Alors je le regardais faire, silencieusement. Je le suivais dans son parcours. Il était seul à évoluer dans son environnement et cela m'amusait de le regarder... Je le regardais être aimable avec cet élève, mignon aussi soit dit en passant... Il ferait joli nu entre mes couvertures... Hum... Je disais? Ah oui... Donc Nicolas avait demandé quelque chose poliment sans trop de méprise. C'était un bon début. Jusqu'à ce qu'il me fasse le numéro de celui qui était responsable... On y croyait presque. Par contre, me prendre pour un mec stupide pas capable de retrouver son chemin en l'empruntant une fois... Ca ce n'était vraiment pas bien... Lui avait peut être besoin de son plan aussi ridicule.... Mais moi ce n'était pas le cas... En plus je n'aimais pas son écriture et c'était un peu illisible son plan... Bref, je préférais amplement celui qui reposait au fin fond de mon sac, fait par ordinateur et tout propre. J'aurais juste à l'apprendre par coeur et c'était bon... Pas besoin d'en faire tout un patacaisse...
- Pfff... C'est bon garde le ton plan... J'en ai un meilleur dans mon sac... Et au pire je me souviendrais du chemin...
Oui j'avais soupiré... Il commençait un peu à me désespérer... Un peu beaucoup en fait... Il me posait des questions qui étaient supposés me laisser le choix et pour finir, c'était comme s'il ne m'en laissait aucun... Pourquoi me poser la question dans ce cas-là? Bref cela avait peu d'importance mais j'en restais un moment figé devant la porte ouverte de sa chambre. On pouvait presque croire que j'attendais quelque chose. Et c'était peut être bien le cas... En fait, c'était même le cas. J'attendais que Nicolas arrête un peu de bouger tout seul dans tous les sens... On avait presque l'impression qu'il était stressé ou je ne sais quoi... Il faisait toujours quelque chose et parlait toujours sans attendre la moindre raison de ma part. C'était étrange... Alors, quand il cessa enfin de bouger et qu'il me regarda d'un air interrogateur, je soupirai à nouveau et entrai à mon tour dans la chambre richement décorée. Oui, c'était très beau, il n'y avait pas de problème à ce propos.
- Bon puisque tu as l'air de l'avoir décidé... Commençons par faire les vérifications... Ca va aller vite si je considère que tu n'es pas encore venu dans cette chambre avant maintenant.. C'est tout ce que tu as...? Bien. Ca va aller plus vite.
Puis, sans un mot de plus ni même un regard vers Nicolas, je m'avançai vers le lit. Il n'avait pas grand chose. C'était bien. Le choc était rude mais nécessaire. Le changement irait plus vite. Ouais bon... Il n'y avait vraiment pas grand chose... J'avais vite fait le tour des doublures et des poches... Et les sous-vêtements... Même pas vérifiés... Je ne le pensais pas aussi tordu pour cacher de l'argent dans une chaussette... Et puis ca se verrait... Non... Il y avait juste cette tenue... Cette tenue qu'il portait quand on avait dîné une seule et unique fois ensemble dans un restaurant... Comment dire... Cette soirée un peu désastreuse... Ca me rappelait plus de mauvais souvenirs que de bons... Et ca devait être sûrement de même pour Nicolas... Pourquoi l'avait il gardé...? Rapidement, je pris un léger air de dégoût et la tenue finit dans la poubelle la plus proche : celle de la chambre de Nicolas.
- Bon... Voilà pour tes vêtements. Ah non. J'allais oublié. La fouille au corps. Le plus intéressant n'est ce pas...?
Avec le premier petit air amusé que je venais de prendre depuis le début de nos retrouvailles, je le faisais lever de sa chaise. Puis, sans attendre, mes mains se mirent à fouiller consciencieusement. Bon bien sûr, je n'étais pas habitué à faire ce genre de choses.. Donc forcément j'allais plus lentement et insistai un peu plus dans mes pressions pour bien m'assurer de ne rien sentir sous mes doigts. Et vient le moment fatidique où l'entrejambe fut l'objet des investigation... Et... Comment dire... C'était bizarrement plus dure dans cette zone que dans toutes les autres que j'ai pu tâter avant cela... Dur et... Cylindrique... Hum...
- Oh... Tiens... Il y a un manque de place ici... Tu devrais peut être faire respirer un peu tout ça...
Avec un petit sourire pervers en coin, je frottais un peu cette zone bien tendue du corps de Nicolas. Oui ca m'amusait. Ca m'amusait même follement. Je crois que j'étais en train de l'égarer en pleine jungle. Cela se voyait qu'il ne contrôlait plus rien et qu'il était totalement perdu... Son oeil était rempli d'incompréhension. Et je le voyais peu à peu se tortiller sous mes caresses. Et puis j'avais fini ma tâche barbante alors on pouvait bien s'amuser un peu non? Oui bon d'accord c'était mal... Mais bon, Nicolas aussi m'en avait fait voir de toutes les couleurs... Charge de revanche... Puis, je finis par cesser mes caresses pour me redresser à sa hauteur et lui rouler le patin du siècle. Enfin bon... Mon premier patin... Mais sans aucun doute un très doué... Puis, je mis fin au baiser, un petit sourire moqueur toujours fiché sur mon visage.
- Bon allez... Il est temps pour moi d'aller ranger mes affaires moi... A plus petit chou! Oh et... Pas la peine de me suivre hein...?
Rigolant, je lui fis un petit clin d'oeil et me détourner de lui pour sortir de sa chambre et aller ouvrir tranquillement la mienne. Mon rire pouvait encore s'entendre dans le couloir jusqu'à ce que la porte de ma chambre ne se referma sur moi laissant un Nicolas certainement plus que choqué. Ah c'était vraiment très drôle... Très très drôle... Je ne savais pas si ca allait l'aider dans tout ca mais... En tout cas... Moi ca m'éclatait...
Akira Yamada- Messages : 8
Date d'inscription : 27/12/2009
Age : 33
Re: Chambre 17 : Nicolas d'Hieux
Invité Mar 9 Fév - 23:34
Nicolas regardait Akira faire son tour. Après tout, il lui avait expressément demandé de la faire, et Akira prenait vraiment toutes les précautions nécessaires pour vérifier que Nicolas n'avait pas dissimulé de l'argent. Évidemment, il n'y avait rien, et évidemment, Akira mis l'unique tenue de l'ancienne vie de Nicolas dans la poubelle. Cela fit un petit pincement dans le cœur de l'ancien riche, mais il s'y était préparé. Mais ce à quoi il ne s'était pas attendu, c'était à la fouille corporelle. Il regarda donc incrédule Akira et se mit debout. A peine l'eut-il fait que son camarade commença la fouille. Il essayait de ne pas penser à quelque chose d'érotique, mais la fouille ressemblait plus à des caresses, et cela suscitait une réaction plus qu'inconcevable dans la partie intime de Nicolas. Il s'en rendait bien compte, et essayait d'oublier cette douce et enivrante sensation, et espérait qu'Akira ne resterait pas aussi longtemps sur son entrejambe. Mais évidemment, les choses ne se passent pas comme prévues.
Nicolas sentit qu'Akira ne faisait plus que fouiller. Il était en train de le caresser. Il frottait la partie la plus sensible de l'anatomie masculine. Nicolas ouvrit les yeux sous la sensation de bonheur, et avait du mal à ne pas gémir ou à tenir sur ses jambes. Il n'avait encore jamais ressenti cela. Il se sentait plus que bien. Il essayait de se calmer, mais rien n'y faisait. il n'arrivait pas à reprendre ses esprits. Enfin, il se dit qu'au moment où Akira avait stoppé ses caresses, son supplice avait fini. Mais là se produisit l'évènement qui allait marqué le petit : Akira l'embrassa langoureusement. Et avec une profondeur qu'il n'avait encore jamais imaginé. Quand le baiser s'interrompit, Nicolas était encore sous le choc. Tout se bousculait dans sa tête : Akira l'aimait-il? Que voulait-il? Et lui, Nicolas, que voulait-il?
Quand Nicolas entendit Akira lui dire qu'il partait, il ne put que lui faire un signe de main en guise d'au revoir. Et pendant une heure, il resta ainsi, debout. Vide de tout. Puis il prit sa poubelle, la mit devant sa porte et s'allongea sur son lit et s'endormit. Il ne rêva pas. S'il rêvait, il ne saurait plus quoi faire.
Nicolas sentit qu'Akira ne faisait plus que fouiller. Il était en train de le caresser. Il frottait la partie la plus sensible de l'anatomie masculine. Nicolas ouvrit les yeux sous la sensation de bonheur, et avait du mal à ne pas gémir ou à tenir sur ses jambes. Il n'avait encore jamais ressenti cela. Il se sentait plus que bien. Il essayait de se calmer, mais rien n'y faisait. il n'arrivait pas à reprendre ses esprits. Enfin, il se dit qu'au moment où Akira avait stoppé ses caresses, son supplice avait fini. Mais là se produisit l'évènement qui allait marqué le petit : Akira l'embrassa langoureusement. Et avec une profondeur qu'il n'avait encore jamais imaginé. Quand le baiser s'interrompit, Nicolas était encore sous le choc. Tout se bousculait dans sa tête : Akira l'aimait-il? Que voulait-il? Et lui, Nicolas, que voulait-il?
Quand Nicolas entendit Akira lui dire qu'il partait, il ne put que lui faire un signe de main en guise d'au revoir. Et pendant une heure, il resta ainsi, debout. Vide de tout. Puis il prit sa poubelle, la mit devant sa porte et s'allongea sur son lit et s'endormit. Il ne rêva pas. S'il rêvait, il ne saurait plus quoi faire.
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